Alitalia: Air France pronta a salire al 50%
- Autore Discussione AZ209
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Re: Thread Alitalia da Settembre 2013
Bella notizia , secondo me, ma sarà con contestuale crescita di Ethiad al 25 % e conseguente controllo della Società ?
per i non francofoni basta utilizzare un traduttore qualunque..
Air France-KLM prêt à sauver Alitalia... mais sous conditions
Air France-KLM doit trancher ce lundi sur sa participation ou pas à une augmentation de capital d'Alitalia. Le groupe est prêt à monter jusqu'à 50% de la compagnie italienne mais fixe au préalable des conditions très dures.
Entre deux comités centraux d'entreprise (CCE) sur les nouvelles mesures d'économies de sa filiale Air France, Air France-KLM est rattrapé par un dossier stratégique majeur : sauver ou pas Alitalia, dans laquelle le groupe français détient 25% aux côtés de plusieurs industriels italiens, une nouvelle fois au bord du gouffre. Des difficultés qui risquent de nécessiter une augmentation de capital, alors que la banque italienne Leonardo cherche des solutions pour recapitaliser la compagnie italienne. En juillet, la compagnie italienne avait fait état d'un besoin de 300 millions d'euros. Un ordre de grandeur qui reste toujours valable aujourd'hui.Selon nos informations, confirmant celles de Bloomberg, un conseil d'administration du groupe se réunira lundi 23 septembre pour définir une position. Un conseil d'Alitalia est également prévu fin septembre pour faire le point sur la situation.
Trois scénarios
Trois possibilités. Soit Air France-KLM ne participe pas à l'augmentation de capital, soit elle la suit à la hauteur de sa participation, soit davantage mais avec des conditions très dures. Selon nos informations, Air France-KLM est prêt à monter jusqu'à 50% du capital d'Alitalia. Pour le reste, des investisseurs institutionnels italiens et (ou) des industriels pourraient compléter l'opération.La direction d'Alitalia est en contact avec Etihad, la compagnie d'Abou Dhabi, partenaire commercial d'Air France-KLM et d'Alitalia. Le PDG du transporteur italien, Gabriele de Torchio, a rencontré récemment de représentants d'Etihad.
Trois conditions
Si Air France-KLM est prêt monter jusqu'à 50%, le groupe demande néanmoins des prérequis très lourds. Pas question en effet de reprendre la dette d'Alitalia (un milliard d'euros). Le groupe français, déjà fortement endetté, ne peut l'absorber. L'objectif principal de son plan de restructuration Transform 2015 est effet de réduire de deux milliards d'euros sa dette entre 2012 et 2015, à 4,5 milliards.Air France-KLM demande par ailleurs que la restructuration industrielle d'Alitalia soit financée au préalable. Visiblement, la taille du réseau prévu dans le dernier plan industriel présenté fin juillet par la direction, est jugé trop ambitieux. Dernier point, le groupe français veut disposer enfin d'une plus grande influence dans la gestion de la compagnie dans certains domaines.
Le sujet divise
Si ces conditions sont réunies, le PDG d'Air France-KLM, Alexandre de Juniac, pas très chaud sur ce dossier il y a quelques mois, serait aujourd'hui partant. Encore faudra-t-il convaincre le conseil d'administration. En février dernier, lorsqu'il avait fallu se prononcer sur le prêt à accorder à Alitalia, le sujet avait suscité l'étonnement et l'agacement d'un grand nombre d'administrateurs. Le sujet divise aussi bien chez Air France que chez KLM.L'enjeu est clair. L'ancien PDG d'Air France-KLM, Jean-Cyril Spinetta l'avait défini en mai dernier lors de l'assemblée générale du groupe : "Air France-KLM doit décider si pour renforcer sa présence en Italie, il a besoin d'Alitalia ou s'il peut le faire avec ses propres moyens. C'est comme ça que le problème doit être posé". Partisan depuis des années d'un rapprochement avec la compagnie italienne, il estime qu'Air France-KLM ne doit pas perdre pied sur le quatrième marché européen, sur lequel Lufthansa est très puissant.Pour autant, sans même parler du risque d'exécution, le timing tombe très mal. Si Air France-KLM devait franchir le Rubicon, il sera en effet compliqué de demander des efforts supplémentaires aux salariés d'Air France et de dépenser dans le même temps de l'argent pour sauver une compagnie italienne, aux abois.
http://www.latribune.fr/entreprises...t-a-sauver-alitalia-mais-sous-conditions.html
Air France-KLM prêt à sauver Alitalia... mais sous conditions
Air France-KLM doit trancher ce lundi sur sa participation ou pas à une augmentation de capital d'Alitalia. Le groupe est prêt à monter jusqu'à 50% de la compagnie italienne mais fixe au préalable des conditions très dures.
Entre deux comités centraux d'entreprise (CCE) sur les nouvelles mesures d'économies de sa filiale Air France, Air France-KLM est rattrapé par un dossier stratégique majeur : sauver ou pas Alitalia, dans laquelle le groupe français détient 25% aux côtés de plusieurs industriels italiens, une nouvelle fois au bord du gouffre. Des difficultés qui risquent de nécessiter une augmentation de capital, alors que la banque italienne Leonardo cherche des solutions pour recapitaliser la compagnie italienne. En juillet, la compagnie italienne avait fait état d'un besoin de 300 millions d'euros. Un ordre de grandeur qui reste toujours valable aujourd'hui.Selon nos informations, confirmant celles de Bloomberg, un conseil d'administration du groupe se réunira lundi 23 septembre pour définir une position. Un conseil d'Alitalia est également prévu fin septembre pour faire le point sur la situation.
Trois scénarios
Trois possibilités. Soit Air France-KLM ne participe pas à l'augmentation de capital, soit elle la suit à la hauteur de sa participation, soit davantage mais avec des conditions très dures. Selon nos informations, Air France-KLM est prêt à monter jusqu'à 50% du capital d'Alitalia. Pour le reste, des investisseurs institutionnels italiens et (ou) des industriels pourraient compléter l'opération.La direction d'Alitalia est en contact avec Etihad, la compagnie d'Abou Dhabi, partenaire commercial d'Air France-KLM et d'Alitalia. Le PDG du transporteur italien, Gabriele de Torchio, a rencontré récemment de représentants d'Etihad.
Trois conditions
Si Air France-KLM est prêt monter jusqu'à 50%, le groupe demande néanmoins des prérequis très lourds. Pas question en effet de reprendre la dette d'Alitalia (un milliard d'euros). Le groupe français, déjà fortement endetté, ne peut l'absorber. L'objectif principal de son plan de restructuration Transform 2015 est effet de réduire de deux milliards d'euros sa dette entre 2012 et 2015, à 4,5 milliards.Air France-KLM demande par ailleurs que la restructuration industrielle d'Alitalia soit financée au préalable. Visiblement, la taille du réseau prévu dans le dernier plan industriel présenté fin juillet par la direction, est jugé trop ambitieux. Dernier point, le groupe français veut disposer enfin d'une plus grande influence dans la gestion de la compagnie dans certains domaines.
Le sujet divise
Si ces conditions sont réunies, le PDG d'Air France-KLM, Alexandre de Juniac, pas très chaud sur ce dossier il y a quelques mois, serait aujourd'hui partant. Encore faudra-t-il convaincre le conseil d'administration. En février dernier, lorsqu'il avait fallu se prononcer sur le prêt à accorder à Alitalia, le sujet avait suscité l'étonnement et l'agacement d'un grand nombre d'administrateurs. Le sujet divise aussi bien chez Air France que chez KLM.L'enjeu est clair. L'ancien PDG d'Air France-KLM, Jean-Cyril Spinetta l'avait défini en mai dernier lors de l'assemblée générale du groupe : "Air France-KLM doit décider si pour renforcer sa présence en Italie, il a besoin d'Alitalia ou s'il peut le faire avec ses propres moyens. C'est comme ça que le problème doit être posé". Partisan depuis des années d'un rapprochement avec la compagnie italienne, il estime qu'Air France-KLM ne doit pas perdre pied sur le quatrième marché européen, sur lequel Lufthansa est très puissant.Pour autant, sans même parler du risque d'exécution, le timing tombe très mal. Si Air France-KLM devait franchir le Rubicon, il sera en effet compliqué de demander des efforts supplémentaires aux salariés d'Air France et de dépenser dans le même temps de l'argent pour sauver une compagnie italienne, aux abois.
http://www.latribune.fr/entreprises...t-a-sauver-alitalia-mais-sous-conditions.html
BAlorMXP
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CVD giudicano il piano di DT troppo ambizioso. Ergo. Ci mettiamo il grano, salviamo la faccia a spolpiamo il mercato come ci pare e piace.
Il mio francese è arrugginito, non ho capito bene il passaggio sui debiti. Ho capito che la vogliono ripulita, spero di aver capito male.
Il mio francese è arrugginito, non ho capito bene il passaggio sui debiti. Ho capito che la vogliono ripulita, spero di aver capito male.
Anche il mio francese stenta parecchio, ma ho capito come te.
Insomma la vogliono gratis e pulita (ma una volta pulita dai debiti, averla gratis mi sembra difficile).
Più che altro mi sembra una comunicazione interlocutoria (in attesa degli sviluppi a oriente, o per metterli in difficoltà).
- 10 Dicembre 2007
- 15,082
- 3,509
In effetti c'è scritto che è fuori questione che af si assuma il miliarduccio di debito. Anche se non credo potrebbe fare diversamente. Probabilmente af sta tirando a corda per vedere fino a che punto gli italiani sono disperati.
Alitalia: missione Abu Dhabi, patto Etihad-Air France
ROMA (MF-DJ)--Un inedito duo franco-arabo potrebbe prendere in mano la
cloche di Alitalia. Le indiscrezioni delle ultime ore, scrive La
Repubblica, stanno svelando i contorni di un patto tra Air France e Etihad
per salvare la compagnia italiana affidando il comando ai manager
transalpini e l'onere di una parte degli investimenti necessari per
strappare Alitalia dalla morsa del fallimento, ai danarosi emiri di Abu
Dhabi.
Il numero uno di Alitalia, Gabriele Del Torchio, durante il fine
settimana, volera' negli Emirati Arabi Uniti, la "casa" di Etihad, dove ne
incontrera' i vertici. Air France dovrebbe invece rivelare una volta per
tutte i suoi piani per Alitalia: fonti vicine al dossier non nascondono
l'ipotesi che Parigi possa presto annunciare un deciso passo in avanti dei
transalpini nella compagnie azionaria, forse gia' al termine del Cda di
lunedi'.
La missione di Del Torchio ad Abu Dhabi, intanto, punta a strappare ad
Etihad una lettera di intenti che metta nero su bianco la loro volonta' di
entrare nel capitale Alitalia nei prossimi mesi e comunque da novembre in
avanti, quando scadranno gli ultimi vincoli che limitano la cessione
di quote azionarie da parte dei soci della compagnia. L'impegno scritto di
Etihad permetterebbe al manager di andare in Cda giovedi' prossimo
con maggiori garanzie da mettere sul tavolo e di bussare alla porta
delle banche disposte a prestare denaro fresco portando un supporto
finanziario con alle spalle un garante di lusso. Nel contempo i francesi
potrebbero procedere ad un aumento di capitale (dell'ultimo da 150 milioni
ne mancano all'appello circa 60, non sottoscritti). In questo modo il duo
arabo-transalpino, prenderebbe in mano con pochi spiccioli una compagnia
che vanta una flotta molto competitiva in fatto di eta' media e preziosi
slot a Fiumicino. Per gli Emirati questo sarebbe un bel colpo d'immagine
in una Europa che ha gia' visto gli sceicchi fare shopping a prezzi di
saldo: dopo l'ingresso in Air Berlin, Air Lingus, e
l'acquisizione del 40% di Air Seychelles, Alitalia sarebbe un fiore
all'occhiello per gli arabi che stanno mettendo a punto una strategia di
rapida espansione.
Davanti al cammino di Del Torchio c'e' pero' una strada particolarmente
accidentata e i tempi per un deciso cambio di passo sono strettissimi:
perche' la liquidita' della compagnia e' ormai agli sgoccioli e urgono
provvedimenti d'urgenza per rastrellare in pochi giorni oltre 300 milioni
di euro per non fallire.
http://www.milanofinanza.it/news/de...ione Abu Dhabi, patto Etihad-Air France (Rep)
ROMA (MF-DJ)--Un inedito duo franco-arabo potrebbe prendere in mano la
cloche di Alitalia. Le indiscrezioni delle ultime ore, scrive La
Repubblica, stanno svelando i contorni di un patto tra Air France e Etihad
per salvare la compagnia italiana affidando il comando ai manager
transalpini e l'onere di una parte degli investimenti necessari per
strappare Alitalia dalla morsa del fallimento, ai danarosi emiri di Abu
Dhabi.
Il numero uno di Alitalia, Gabriele Del Torchio, durante il fine
settimana, volera' negli Emirati Arabi Uniti, la "casa" di Etihad, dove ne
incontrera' i vertici. Air France dovrebbe invece rivelare una volta per
tutte i suoi piani per Alitalia: fonti vicine al dossier non nascondono
l'ipotesi che Parigi possa presto annunciare un deciso passo in avanti dei
transalpini nella compagnie azionaria, forse gia' al termine del Cda di
lunedi'.
La missione di Del Torchio ad Abu Dhabi, intanto, punta a strappare ad
Etihad una lettera di intenti che metta nero su bianco la loro volonta' di
entrare nel capitale Alitalia nei prossimi mesi e comunque da novembre in
avanti, quando scadranno gli ultimi vincoli che limitano la cessione
di quote azionarie da parte dei soci della compagnia. L'impegno scritto di
Etihad permetterebbe al manager di andare in Cda giovedi' prossimo
con maggiori garanzie da mettere sul tavolo e di bussare alla porta
delle banche disposte a prestare denaro fresco portando un supporto
finanziario con alle spalle un garante di lusso. Nel contempo i francesi
potrebbero procedere ad un aumento di capitale (dell'ultimo da 150 milioni
ne mancano all'appello circa 60, non sottoscritti). In questo modo il duo
arabo-transalpino, prenderebbe in mano con pochi spiccioli una compagnia
che vanta una flotta molto competitiva in fatto di eta' media e preziosi
slot a Fiumicino. Per gli Emirati questo sarebbe un bel colpo d'immagine
in una Europa che ha gia' visto gli sceicchi fare shopping a prezzi di
saldo: dopo l'ingresso in Air Berlin, Air Lingus, e
l'acquisizione del 40% di Air Seychelles, Alitalia sarebbe un fiore
all'occhiello per gli arabi che stanno mettendo a punto una strategia di
rapida espansione.
Davanti al cammino di Del Torchio c'e' pero' una strada particolarmente
accidentata e i tempi per un deciso cambio di passo sono strettissimi:
perche' la liquidita' della compagnia e' ormai agli sgoccioli e urgono
provvedimenti d'urgenza per rastrellare in pochi giorni oltre 300 milioni
di euro per non fallire.
http://www.milanofinanza.it/news/de...ione Abu Dhabi, patto Etihad-Air France (Rep)
Dice che sono coscienti dei debiti, ma con il transform in atto non possono assorbirli (nota personale: pertanto dovranno scaricarli in qualche modo)
..e da questo passaggio si capisce il perché dell'assenza dei rappresentanti di AF alla presentazione del piano industriale.
Insomma si conferma che AF vuol fare di AZ una regional (come del resto già nel 2008). Ogni tanto mi chiedo perché un simile piano sia così tanto apprezzato in Italia (ora come allora).
Doctorstein
Utente Registrato
Tra l'altro, credo che con i soldi che servirebbero a pagare i buchi e le CiGS si potrebbe fare ben altro.
Speriamo che il governo non decida di rifilarci i debiti in cambio di nulla.AF se vuole il mercato italiano si cucchi tutto.L'impressione é che AF provi il colpaccio prima dello scadere del lock-up per evitare che EY possa essere ingolosita dal fare da se magari con un partner semi pubblico italiano,tipo Trenitalia o CDP,perché se gli italiani ci devono mettere soldi deve essere a fronte di quote azionarie,un partner forte e nuovo ed un business plan sensato e sostenibile. Questo lo vedo con EY,ovviamente meno con AF e mi sa che la stessa AF mette in conto uno scenario del genere e prova il colpaccio.
Alitalia: Hogan (ad Etihad), ora nostra priorita' e' indiana Jet Airways
(Il Sole 24 Ore Radiocor) - Roma, 20 set - Alitalia non
rientra al momento tra le priorita' della compagnia aerea
araba Etihad. Lo ha detto in una dichiarazione rilasciata
alla Afp James Hogan, amministratore delegato di Etihad, che
ha sottolineato come la compagnia degli Emirati Arabi sia
concentrata al momento sul vettore indiano Jet Airways.
Rispondendo ad una domanda sulla possibilita' di investire in
Alitalia, Hogan ha risposto: "Per il momento mi sono
concentrato sull'India, sulle nostre operazioni in India.
Abbiamo un forte rapporto con Alitalia. Guardiamo a molte
imprese, ma la nostra priorita' e' Jet Airways".
(Il Sole 24 Ore Radiocor) - Roma, 20 set - Alitalia non
rientra al momento tra le priorita' della compagnia aerea
araba Etihad. Lo ha detto in una dichiarazione rilasciata
alla Afp James Hogan, amministratore delegato di Etihad, che
ha sottolineato come la compagnia degli Emirati Arabi sia
concentrata al momento sul vettore indiano Jet Airways.
Rispondendo ad una domanda sulla possibilita' di investire in
Alitalia, Hogan ha risposto: "Per il momento mi sono
concentrato sull'India, sulle nostre operazioni in India.
Abbiamo un forte rapporto con Alitalia. Guardiamo a molte
imprese, ma la nostra priorita' e' Jet Airways".
Concordo,ma l'alternativa é ri-nazionalizzare... che se fatto bene,con onestà e competenza sarebbe probabilmente un affare viste le cifre in ballo. Ma in Italia siamo in grado di aver la forza di fare ciò?
La dichuarazione di Hogan nasconde due scenari,o un altolà di AF ai quali EY si piega o una smentita formale on attesa di metterlo nel didietro ad AF prendendo direttamente il controllo di AZ e del mercato italiano.
Ad un metro dal baratro,col cappio al collo,non hai molti margini di trattativa.
Il piano industriale messo a punto 5 anni fà ha mostrato i suoi limiti.
Bisogna vedere se il nuovo padrone approverà l'ultimo piano industriale di DT altrimenti l'odierna convention rischia di passare alla storia come una gita fuori porta.
- Stato